Presse 2009

25 novembre 2009
Corporate LinX ouvre sa filiale anglaise après 1 an d’activités
Corporate LinX a été fondée en France en 2008 avec pour objectif d’aider les grandes entreprises à réduire leurs coûts opérationnels tout en améliorant la performance de leur ‘working capital’ notamment liée à gestion de leur ‘Supply Chain’ et les relations avec leurs fournisseurs.

Afin de faire face aux demandes actuelles des clients, la société étend son périmètre d’action ; elle est heureuse d’annoncer l’ouverture de sa filiale au Royaume-Uni basée dans la région du Hampshire, avec une équipe technique opérationnelle dirigée par Dean Randle. 

Fabien Jacquot, Président de Corporate LinX déclare “Cette expansion témoigne naturellement de l’essor de notre activité, positionnant encore plus favorablement notre société afin d’accompagner nos clients dans leurs développements internationaux. Grâce aux expertises métier et technique de notre équipe, les projets de Reverse Factoring de nos clients sont gérés par des mains expertes !». 

Depuis un an, Corporate LinX propose sa propre solution technique, le portail transactionnel de dématérialisation ; Corporate LinX eXchange (CLeX), permettant à leurs clients de réduire leurs coûts opérationnels et d’améliorer le working capital entre le donneur d’ordres et ses fournisseurs. La dématérialisation et la gestion collaborative des transactions ‘Purchase-to-Pay’ via le portail CLeX permettent de nombreux avantages ; notamment la possibilité pour les fournisseurs de bénéficier de règlement anticipé de leurs factures contre escompte (Reverse Factoring) et ce à des conditions plus compétitives que de nombreuses offres financières. La participation d’organisations financières dans la relation collaborative réduit risques et coûts opérationnels tout en offrant aux fournisseurs une plus grande flexibilité dans la gestion des termes de paiement. 

En complément de l’offre technologique de Corporate LinX, l’entreprise propose à ses clients son expertise pour une approche en 3 étapes ; évaluation du périmètre, mise en place du programme et accompagnement. 

Corporate LinX s’engage sur les plus hauts niveaux de service de son portail CLeX, l’offre ‘SaaS’ est gérée sur l’infrastructure IBM permettant une mise en place rapide et économique, assurant aux clients de tous types d’atteindre rapidement leurs objectifs financiers grâce une meilleure gestion de leurs processus d’achats, de facturation et de disponibilité de leur ‘cashflow’. 

24 novembre 2009 – password required to access gtnews
Corporate LinX Opens UK Subsidiary
French firm Corporate LinX has opened a UK office based in Hampshire and supported by a technical team headed by Dean Randle.
Corporate LinX eXchange (CLeX) transactional portal assists clients in the optimisation of cost reduction and working capital between the clients’ buyer organisations and their suppliers. The dematerialisation and collaborative processing of all purchase-to-pay (P2P) data through CleX allows many benefits, including the possibility for suppliers to achieve early payment against discounts (reverse factoring) at more favourable terms than other trade finance options. The participation of financial organisations in the collaboration reduces their risk and cost of operation and allows them to offer more flexible settlement terms to suppliers.
Fabien Jacquot, Corporate LinX chief executive, said: « This expansion is obviously a positive sign of development, putting the company in an even stronger position to accompany our clients’ own international development. »

23 novembre 2009
Corporate LinX opens its UK subsidiary after a successful first year.
Corporate LinX was created in France in 2008 with the objective to assist large corporations reduce their operational costs, whilst optimizing their working capital performance in the management of their Supply Chain and their relationship with suppliers. In order to keep abreast with current demand, the company is expanding and is proud to announce the opening of its UK office based in Hampshire, fully supported by a technical team headed by Dean Randle.

18 novembre 2009
Corporate LinX – Le Saas pour mise en place et gestion simplifiées de la dématérialisation du financement de la Supply Chain
L’essor des projets de dématérialisation des transactions dans la Supply Chain en vue de permettre la mise en place de Reverse Factoring est favorisé par l’utilisation du Portail transactionnel en mode SaaS.

Le SaaS aujourd’hui 
Le souci de mettre rapidement en place du crédit interentreprises bon marché accessible conduit les grands groupes à se tourner vers des technologies rapidement mises en place. 

‘SaaS’ initialement interprété comme Software as a Service se décline dorénavant plutôt comme Solution as a Service. En effet, au-delà du logiciel, il s’agit d’étendre l’offre et délivrer une solution complète pour le client. 

Les responsabilités quant au fonctionnement, disponibilité, support techniques, etc, sont déportées chez le prestataire comme Corporate LinX qui offre ces prestations. 

Corporate LinX a fait le choix de faire héberger son Portail sur l’infrastructure d’IBM qui offre les meilleures garanties pour la disponibilité, la sécurité et la résilience. La relation technique est gérée par le partenaire choisi par IBM, la société Aspaway. 

Au-delà des questions techniques, le mode SaaS offre une capacité de mettre en place des programmes même complexes comme le Reverse Factoring en quelques semaines. En effet, la technologie est déjà installée et permet de gérer la dématérialisation des documents entre fournisseurs et donneur d’ordres. Les quelques paramétrages et créations de comptes utilisateurs sont les seuls éléments. Quand le donneur d’ordres souhaite faire intervenir des établissements financiers, ceux-ci sont connectés sur le Portail afin de participer à l’échange. 

SaaS comparé à l’achat de licence logicielle 
Les solutions en mode SaaS sont préférées à l’intégration interne de logiciels 
complexes. Les grands groupes gèrent des projets informatiques sur de longues échéances. Si les donneurs d’ordre souhaitent être en mesure d’aider rapidement leurs partenaires dans la Supply Chain, l’abonnement à une technologie déjà installée permet d’éviter un long projet d’intégration. D’autant, que grâce au SaaS, le donneur d’ordres évite les achats de serveurs requis pour gérer la nouvelle technologie. 

Fabien Jacquot, Président de Corporate LinX précise : « Les grands groupes, qui pour des raisons de sécurité ou de secret défense préfèrent ou doivent intégrer les application sensibles peuvent acheter une licence de notre Portail prévu pour s’intégrer dans des environnements techniques complexes ». Il ajoute : « Pour les donneurs d’ordres qui souhaitent faire un test avant d’acheter la technologie, notre Portail en SaaS permet d’essayer la technologie à moindre frais ». 

Car en termes économiques, non seulement le SaaS permet d’éviter des investissements de machines, mais l’abonnement lissé sur la durée contractuelle évite l’investissement important imposé par l’achat d’une licence. Le sacro saint ROI est donc plus facilement atteint car l’abonnement SaaS ne facture que les transactions réellement effectuées. Le montant de l’abonnement croît avec la montée en charge du projet. 

Perspectives 
La tendance de l’utilisation d’applicatifs en SaaS se généralise à quasiment tous les types de solutions techniques. La dématérialisation des documents échangés dans la Supply Chain est sujette à cet engouement justifié. 

La rapidité de disponibilité de la solution combinée à de faibles coûts de mise en place sont des arguments de poids. Un libre arbitre demeure cependant avec le grand groupe ou de la banque qui peuvent choisir d’acheter une licence du logiciel. La tendance de développement de programmes de Reverse Factoring surfe sur la disponibilité d’une technologie accessible en mode SaaS. Pour finir, il faut cependant garder en tête que pour ces programmes, la technologie ne règle pas tout ; la conception et les objectifs du projet sont primordiaux et doivent être traités avec le plus grand professionalisme . Mais ça c’est une autre histoire … que l’expertise métier de Corporate LinX peut vous aider à écrire. 

Fabien Jacquot 

18 novembre 2009
Corporate LinX – Simplified implementation and processing for cost effective dematerialised Reverse Factoring initiatives when managed in ‘SaaS’ mode
The dematerialisation of Supply Chain transactions leading to Reverse Factoring implementation is facilitated by using a transactional Portal managed as a ‘SaaS’.

SaaS today 
Judging by the need for providing attractive short term credit with their suppliers ; large Corporate are electing technical solutions easily and promptly implemented. 

‘SaaS’ initially defined as Software as a Service is evolving towards Solution as a Service. Beyond the availability of a technical solution, an array of services is now requested by the client organisation. 

Responsabilities in respect of availability, technical assistance, management of the application, etc are nowadays required from the service provider like Corporate LinX offering such services. 

Corporate LinX has selected the IBM shared infrastructure for hosting its Portal ; as optimal guarantees such as availability, security and resilience are delivered. The technical relationship is being handled by IBM’s partner, Aspaway. 

Beyond technical considerations, the SaaS mode is enabling within weeks rapid and simple programme implementation even in the case of complex initiatives such as Reverse Factoring. The technical solution being already operational, document dematerialisation can begin between any buyer organisation and its suppliers. Should the Buyer require participation from financial institutions participation, they are either already connected with the Portal or can start online financing within days. 

SaaS versus software license 
Solutions running in SaaS mode are being favoured as opposed to traditional software licence integration within Buyer’s technical infrastructure. 
Large groups are managing numerous strategic projects with varied lead times for any new software integration. Should the Buyer be keen to assist suppliers within a short time frame, the subscription to a ‘nearly-ready-to-go’ technology for its own organisation avoids a long integration project combined with purchasing additional servers. 

Fabien Jacquot, Corporate LinX CEO says : « Essentially for security reasons, large groups’ procedures may dictate purchasing technology or local installation. We are therefore also marketing licences of our Portal designed for integrating and interfacing into complex existing technical environments (ERP, e-proc, EDI, etc)”. Fabien adds: “Organisations wishing to test or run a limited pilot can test the Portal in ‘SaaS’ at little costs”. 

In economic terms, not only ‘SaaS’ does not require investing in hardware but also avoids purchasing a software licence. The service subscription monetary amount is based on the contract duration and charges actual transactions being processed. Attaining ROI objectives is there achieved quicker. Subscription fees are growing in accordance with the project’s success. 

Perspectives 
Application usage in SaaS is growing fast for nearly all types of technical solutions. The document dematerialisation trend is benefiting from the availability of ‘SaaS’ solutions like Coporate LinX’s dedicated Portal. 

Fast implementation combined with low upfront cost are no small arguments in today’s world dictating fast ROI. However, clients can ultimately test the application in SaaS and decide to purchase a software licence. Rapid development of varied Reverse Factoring initiatives is surfing on the availability of technology in SaaS. To conclude, one has to bear in mind that technology is not a ‘do-it-all’; clients’ objectives and constraints require expert handling to guarantee the success of the project. 
Corporate LinX’s management expertise, coupled with their own technology offer clients the perfect solution! 

Fabien Jacquot 

09 novembre 2009
Simplified implementation & processing for dematerialised Reverse Factoring initiatives in ‘SaaS’ mode.
The dematerialisation of Supply Chain transactions leading to Reverse Factoring implementation is facilitated by using a transactional Portal managed as a ‘SaaS’.
SaaS today Judging by the need for providing attractive short term credit with their suppliers ; large Corporate are electing technical solutions easily and promptly implemented.

19 octobre 2009
Corporate LinX. La dématérialisation pour quels objectifs ?
La dématérialisation des appels d’offres, des commandes ou des factures est un thème récurrent et prometteur d’un ROI atteint en un temps record. Des projets sont lancés à grand renfort d’annonces presse. Et pourtant, le nombre de ces projets qui atteignent une maturité en rapport avec les objectifs reste faible. Pourquoi ?

L’EDI (Edifact) a transformé radicalement la gestion logistique des échanges entre fournisseur et acheteur en dématérialisant gestion de stocks et approvisionnement correspondant aux besoins de l’industrie ou de la distribution. Les échanges EDI bénéficient à la fois fournisseur et donneurs d’ordres et remplissent des objectifs logistiques. 

Pourtant, la Supply Chain est la responsabilité de plusieurs départements de l’entreprise et une stratégie interne de dématérialisation à l’unisson n’est pas simple à définir. Beaucoup d’initiatives dématérialisent en morceaux la Supply Chain avec des projets internes séparés ou au pire divergents. Par exemple, la simple dématérialisation de la facture si on considère la complexité de mise en place, n’offre que des avantages limités. 

Le seul gain opérationnel de réduction des coûts promu par la dématérialisation suffit rarement à lancer ce type de projet dans de grandes entreprises. A l’heure du pilotage de la performance financière et du besoin de visibilité des entreprises, les communautés achats, finance, technique sont à la recherche de leviers plus significatifs en matière de gains. 

Quels objectifs ? 
Trop de débats sur les moyens d’opérer la dématérialisation fiscale et les problématiques d’archivage ont obscurci les raisons et objectifs réellement atteignables de ces projets. 

Au risque d’une lapalissade, tout est fonction de l’objectif de l’entreprise. Si ce sont des objectifs financiers, la démat doit donc s’appréhender comme le moyen d’arriver à une cible financière précise. 

La cible peut consister à dématérialiser la Supply Chain en vue d’objectifs financiers. 
La dématérialisation permet de faciliter la gestion de programmes dénommés Supply Chain Finance, reverse Factoring qui tout en permettant de renforcer la relation Fournisseurs-Donneurs d’Ordres offrent des avantages financiers mesurables pour tous. La démat permet de s’attaquer à d’énormes volumes transactionnels ; d’automatiser, de raccourcir les traitements et les cycles de décision sur la validation tout en offrant de la visibilité constante pour les 2 communautés sur les encours, dettes. 

L’automatisation des traitements favorise le Reverse Factoring 
L’optimisation du Reverse Factoring passe notamment par une forte automatisation du traitement et rapprochement facture livraison/commande. Dès sa détection chez le D.O., le litige peut être partagé immédiatement avec le fournisseur afin que ce dernier puisse intervenir pour le résoudre. Enfin, la facture validée doit être visible du Trésorier D.O. afin qu’il décide de la meilleure stratégie pour régler la dette. Ceci constitue un des principaux intérêts du Reverse factoring pour le Trésorier que de lui offrir des leviers de décision : payer plus tôt, payer plus tard, faire payer ou offrir un financement par un tiers, etc. Les achats dans leurs relations avec les fournisseurs sont également gagnants en offrant un service souple de paiement anticipé permettant d’améliorer le dialogue nécessaire avec les fournisseurs. 

Le Reverse Factoring à… trois 
Un établissement financier peut intervenir dans la boucle afin de ‘soulager’ la gestion des paiements anticipés. Dans cette relation à 3, chacun tire des avantages des programmes financiers mis en place. Les questions autour des modalités techniques des échanges dématérialisés s’abordent alors dans un contexte gagnant-gagnant. La visibilité sur validation, paiement et proposition de règlement anticipés sont le nerf de la guerre dans la vie du Fournisseur. Le Fournisseur sera plus enclin à se convertir aux transactions dématérialisées avec son DO lorsqu’il comprend le pourquoi de la démarche. La visibilité partagée des transactions doit intervenir dès l’envoi de sa créance au DO ; permettant une proposition de règlement contre escompte 5 jours après l’envoi de la facture. 

Perspectives 
La dématérialisation offre de réelles perspectives pour fournisseurs et D.O. dans le cadre de la gestion et du paiement des créances. La modalité des échanges transactionnels importe moins que la capacité de convertir ses fournisseurs à une modalité, même simple de dématérialisation. 
L’accès primordial pour le fournisseur au règlement anticipé de ses factures ne doit pas être compromis par la mise en place fastidieuse de modalités telles que la dématérialisation fiscale. 

Encourageons la dématérialisation mais à condition d’identifier les objectifs attendus et permettre, au vu des efforts technico fonctionnels à réaliser, des bénéfices partageables entre tous les acteurs impliqués. 

Fabien Jacquot 

06 octobre 2009
Corporate LinX becomes an « IBM Business Partner ».
IBM has granted the ‘IBM Advanced Partner ‘ status to Corporate LinX with their innovative technology managing working capital improvements for all organisation types.
In light of their commercial and technical commitment to IBM, Corporate LinX has been granted the status of: « IBM Advanced Business Partner ». Their relationship is duly reinforced through the technical collaboration that has been established to host Corporate LinX’s eXchange Portal (CLeX) within IBM’s infrastructure in Montpellier (France).

02 avril 2009
Corporate LinX : portail de dématérialisation de la Supply Chain hébergé en mode SaaS chez IBM
Le portail de Corporate LinX permettant la dématérialisation des transactions de la Supply Chain est dorénavant proposé en mode SaaS. L’infrastructure IBM France a été choisie pour héberger le portail transactionnel Corporate LinX eXchange. La mise en place a été orchestrée par les équipes d’Aspaway.

Jusqu’à présent commercialisé en mode licence pour les grands donneurs d’ordres européens qui dématérialisent leurs transactions avec leurs fournisseurs, Corporate LinX propose dorénavant son portail CLeX en mode SaaS. 

Pourquoi une offre SaaS ? 
Le mode SaaS permet une mise en place très rapide du projet pour le donneur d’ordres et à moindre coûts. « Proposer un deuxième volet à notre offre permet de répondre à un besoin client plus large » commente Fabien Jacquot, Président de Corporate LinX. « Le portail en mode SaaS offre la possibilité au client de rapidement mettre en place un pilote peu coûteux afin de tester l’efficacité de la solution et la facilité pour les fournisseurs à s’y connecter. Le client aura ensuite 2 choix ; poursuivre l’abonnement SaaS ou bien acheter une licence à installer au sein de sa propre infrastructure», rajoute Fabien Jacquot. En mode SaaS, les établissements financiers qui souhaitent proposer ce type d’offre à leurs clients grands comptes, en y associant du financement, peuvent s’abonner en fonction de l’augmentation des transactions ; un modèle économique plus souple car progressif. 

Quelles sont les différences fonctionnelles du mode SaaS ? 
Les fonctionnalités collaboratives de dématérialisation des commandes, factures (démat fiscale), avoirs, escomptes, avis de paiements, archivage sont identiques en mode SaaS. Le portail CLeX peut également gérer la charte graphique du donneur d’ordres comme pour un outil interne. Le donneur d’ordres garde le contrôle total de son programme auprès des fournisseurs et des participants financiers même dans la configuration SaaS Pour leur part, les fournisseurs bénéficient de plusieurs moyens techniques de récupérer et échanger des informations/documents au donneur d’ordres et aux établissements financiers souhaitant participer au paiement anticipé. 

Pourquoi IBM ? 
L’infrastructure IBM basée à Montpellier présente, pour une application stratégique tel qu’un portail transactionnel, les garanties de sécurité, résilience, redondance sur lesquelles un leader mondial de l’hébergement peut s’engager. Des volumétries annuelles de plusieurs millions de factures par client doivent également pouvoir être gérées avec une disponibilité maximale de l’application. La commercialisation des environnements mutualisés est confiée par IBM à la société Aspaway qui gère activement la mise en place et le suivi des logiciels hébergés. « La souplesse de l’offre d’hébergement d’Aspaway permet d’accommoder nos clients qui privilégient le mode SaaS tout en requérant des environnement dédiés », précise Fabien Jacquot. 

18 mars 2009
Corporate LinX : ObjectifS Cash
Pourquoi affubler un ‘S’ ostentatoire à objectifs ? Les entreprises de tous ordres sont lancées dans une recherche quasi frénétique du cash; à protéger ou à faire rentrer d’urgence dans les caisses. Visitons donc certaines initiatives prometteuses et leur impact réel sur les objectifS Cash.

Il existe plusieurs leviers pour améliorer la position de son cash. Examinons notamment les possibilités prometteuses offertes grâce aux outils permettant une amélioration de la gestion des transactions dans la Supply Chain. Mais, au-delà de la promesse parfois vague de baisse des coûts opérationnels, pesons le pour et le contre de ces solutions dans l’atteinte de gains financiers. 

e-procurement = objectif Cash ? 
La gestion dématérialisée d’une partie des achats au sein d’un outil gérant catalogue, prix, autorisation et autres droits a transformé radicalement la relation acheteur-vendeur. 
Non : malgré les gains opérationnels substantiels et malgré la possibilité d’associer un module facturation, ces outils n’appréhendent qu’une partie des achats et qu’une partie de la Supply Chain. 
Oui, si: l’e-procurement constitue la première brique d’une dématérialisation complète des transactions fournisseurs dans un cadre collaboratif permettant de gérer la notion de litige, paiement, escompte, etc. 

Numérisation factures = objectif Cash ? 
En fort développement, les coûts de ce service sont assumés par le DO qui en internalisant ou externalisant la numérisation libère des ressources comptables pour d’autres tâches que la saisie de factures. 
Non : les gains opérationnels sont bénéfiques pour la compta fournisseurs du DO afin d’enregistrer les factures fournisseurs. Il est indispensable d’associer la lecture automatique de données (LAD) pour obtenir un résultat quantifiable. 
Oui, si : cela constitue une première étape d’une initiative plus large avec pour objectif de raccourcir les délais de validation des créances fournisseurs permettant de bénéficier de l’escompte proposé. 

Démat de factures = objectif Cash ? 
Le processus implique une volonté du DO partagée par les fournisseurs de passer à la facturation électronique. 
Non : complexité et contraintes de mise en place freinent l’élan des fournisseurs qui en plus doivent payer pour ce service dont l’avantage principal bénéficie le DO. De plus, ce principe ne se déploie pas chez tous les fournisseurs et ne règle qu’une partie des différentes étapes du cycle ‘commande-facturation-règlement’. 
Oui, si : le principe devient populaire chez les fournisseurs car collaborativité et visibilité sur statuts et dates de paiements des factures font partie intégrante l’offre. La démat de facture doit contribuer à une validation plus rapide. Si la dématérialisation des factures contribue à pouvoir bénéficier de l’escompte fournisseurs et de proposer un paiement anticipé, un gain financier sera atteint rapidement. 

EDI = objectif Cash ? 
Encore une initiative initiée par le DO et pilotée par les fonctions achats et logistique. L’industrie, le Retail sont d’importants promoteurs de l’EDI permettant une gestion ‘horizontale’ des stocks. 
Non : hormis les fournisseurs stratégiques qui subissent le coût des outils, l’EDI reste un mode de gestion cher. De plus, la diversité des formats des messages EDI nécessite parfois pour une même organisation de gérer plusieurs formats pour différents fournisseurs. Les gains liés à l’EDI sont essentiellement d’ordre logistique dans la gestion de chaîne de production. 
Oui, si : l’EDI forme le lien avec d’autres outils tel l’e-procurement, un workflow de validation et un portail fournisseur permettant circulation et approbation rapides des transactions pour bénéficier des conditions d’escompte ou autre financement potentiel des transactions. 

Comment atteindre l’objectif Cash ? 
La complexité de la Supply Chain réside dans le nombre et les différents types de transactions. Un certain nombre de solutions techniques permettent de dématérialiser une partie de la chaîne offrant des résultats partiels. 
Cependant, l’atteinte d’un objectif financier est envisageable quand les différents acteurs sont liés dans un outil commun. Les fonctions achats, comptabilité et trésorerie participent à ce processus et doivent donc utiliser une solution dans laquelle chacun peut jouer son rôle. De même, pour éviter dispersion et complexité, les fournisseurs doivent communiquer avec l’entreprise avec un nombre limité d’outils. Ces outils doivent faciliter l’échange collaboratif dont le fournisseur doit tirer un bénéfice tangible. A toute initiative de dématérialisation de la Supply Chain, on aura soin d’associer une visibilité claire sur le circuit de paiement accessible par les fournisseurs. Les initiatives existantes de cet ordre montrent que les fournisseurs participent si en connaissant les dates de paiements, ils peuvent à loisir demander un règlement anticipé. Le DO profite alors du paiement anticipé en bénéficiant de l’escompte ou en utilisant un partenaire de crédit qui règle le fournisseur et reverse une partie du gain. Dans ce cas, fournisseurs et DO atteignent rapidement l’objectif Cash. 

20 février 2009

Supply Chain Finance pour aider fournisseurs et donneurs d’ordres
La LME est maintenant en place et offre une opportunité pour les grands donneurs de sécuriser leurs propres Supply Chains tout en faisant un nouveau pas en avant pour favoriser leurs fournisseurs. Le contexte actuel apporte un nouvel éclairage pour les avantages respectifs du financement de la Supply Chain.

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